(leonhard) too good at goodbyes

identity  Patronyme sans fioritures, ni dorures, (ADLER) épouse les anonymes, se dresse loin des éponymes. L’âcreté du son vient chercher au fond de la gorge, des tripes. Tes instructeurs l’ont souvent craché, gueulés en s’égosillant qu’il y avait dix pompes de plus à faire, que la guerre t’allait la perdre à être si faible. Et tu gueulais des oui, chef, les yeux clairs prêts à bouffer tout l’univers, prêt à gagner la guerre, à conquérir n’importe laquelle on te donnerait, on t’offrirait. (ADLER), c’est pas qu’ton nom. C’est celui de parents partis trop tôt, t’étais trop petit pour te souvenir, vraiment en souffrir. Ils sont partis sans vraiment laisser d’histoires à raconter. Il y a plus que la maison que t’as récupéré à dix-huit piges, des photos vieillis. C’est comme si c’était un peu des inconnus. A regret.  (ADLER), c’est devenu plus qu’ton nom. C’est celui de tes gamines, qui sont pas vraiment les tiennes, mais qu’t’aimes comme si tu les avais faites. Comme si elles étaient la chaire de ta chaire, le sang de ton sang. Que tu protèges toujours un peu. Même si elles sont devenues trop grandes pour les étreintes, les baisers mouillés, ta tendresse un peu grossière, primaire. (ADLER) comme un rappel que tout se mérite. Les syllabes de (LEONHARD) t’ont toujours foutu mal à l’aise. Dans ton prénom entier, il y a comme un effort de noblesse, de délicatesse qui te rebute. Alors tu l’as bien vite raccourci en Leon, quitte à passer pour un con. Comme le charmant petit surnom de Leon le lion qui t’fait encore grincer des dents et te donne des airs méchants. Faut dire qu’t’en as cassé des gueules pour moins que ça. Et tu sais que ton prénom n’est pas si loin du lion courageux, qu’il y a une sorte de bravoure vivace, tenace à chaque fois qu’on l’expire. Et tu t’en fous bien de savoir que ça te va bien, que ça te colle à la peau. Tu veux pas être un gros chat. Tu veux pas être un gros chat alors que tu recules devant rien pour tes hommes, que t’as jamais eu froid aux yeux. Que t’es prêt à tout pour mettre le plus de pourris possibles en taule.  Que t’auras jamais de repos tant qu’un vivra, respira. Que tu ne pardonnes pas. Que tu sais pas pardonner.
birth star  Né un (8 JANVIER 2180), tu as pas d’histoire à raconter là-dessus. Parce que tes parents n’ont pas eu le temps pour en causer. Ils n’ont jamais pu pleurnicher, s’attarder sur leur bonheur, leur douleur. T’as jamais été de ces gosses qui avaient des trucs à raconter sur leur parent et ça fait (39 ANS) que ça n’a pas changé. Il paraît qu’on s’habitue avec les années, le temps passé.
activities  T’as longtemps été du genre à cogner plutôt qu’à causer. T’as été plus souvent le gosse révolté par les injustices que le gamin qui réfléchit, pense, léché par un brasier incontrôlable de faire le bien, de faire ton devoir. Purs fils de l’Automne, t’es né pour l’honneur, la gloire, les combats. T’as longtemps été soldat, au garde-à-vous, matant les rébellions, écrasant de tes flammes les ennemis de ton coven. T’as pas honte de ce que t’as fait, de ce que t’as été. Mais tu sais que tu pouvais faire plus. Tu sais que tu devais faire plus. Alors t’es devenu poulet (ou policier, selon le terme poli). Peu à peu t’as gravi les échelons. Années après années, t’en as mené des criminels de tout bord devant les Juges. T’en as écrasé des petites frappes, des loubards, des gros coups. T’as perdu des hommes, t’en as sauvé d’autres. On sait qu’t’es bon à c’jeu-là, qu’tu laisseras personne t’échapper. Implacable, féroce, véloce, on t’a récompensé, balancé dans tout un fatras administratif qui t’éloigne un peu trop du terrain. Ouai, t’es (LE COMMANDANT DE LA POLICE). T’aimes pas le désordre, tes hommes filent droit sous ta grosse voix & tu feras tout pour coffrer tous les enfoirés que ce monde porte.
heart rate  Il n’y a jamais eu que la solitude. Pas de petite-amie, de fiancée, encore moins d’épouse. T’es (SEUL). Ce n’est pas l’intérêt des sorcières qui a manqué. Ce n’est pas les occasions, les rendez-vous arrangés qui n’ont jamais été proposé. C’est toi qui sais que t’esquiver, te dérober. C’est toi qui n’avouera jamais : t’aimes pas les femmes. Le grain de peau délicat et sans imperfection n’a pas la saveur, l’odeur de leur homologue. Elles n’ont pas ces corps qui se fracassent contre le tien, qui te crevassent, t’encrassent de mille désirs. Et tu ne veux pas que ça se sache. Tu mourras plutôt que de l’avouer, plutôt que d’enfin dire la vérité. Pourtant, t’as pas honte quand vos corps s’enlacent, quand vos souffles se perdent l’un dans l’autre, quand il gémit, se trahit. Quand les draps se froissent, quand tes mains calleuses rendent justice au corps gracile, timide. Tu le trouves beau quand il étouffe ton prénom, tu le trouves beau lorsqu’il rend les armes. Lorsque le désir vous chasse, vous désarme. Non, t’as pas honte quand il est tien, quand il t’appartient.
group L’honneur de l’(AUTOMNE) embrase tes veines, s’éprend de toutes tes cellules. T’es né gamin des flammes, t’as été pétri, façonné, biberonné à l’ordre, au devoir, à l’inflexibilité. T’es d’ceux qui pourraient crever pour leur coven, t’es de ceux qui ne pardonnent pas. T’es de ceux qui marchent, qui luttent, qui n’auront jamais de repos tant que le devoir ne sera pas accompli. Tant que ta mission ne sera pas finie.
powerplay On te surnomme  (LA TORCHE HUMAINE). Le feu a toujours été en toi, il a toujours coulé dans ton sang, dansant comme une flamme immuable, inébranlable. Et lorsque la magie se dévoile, trace ses ridules sur ta peau, c’est ton épiderme qui se crevasse, dévoilant le brasier intérieur. Tu t’embrases littéralement, violemment. Ton corps s’habille de feu, se parant d’un incendie dévastateur, vengeur. C’est tout ou une partie de tes membres qui s’enflamment, prêts à cogner, abattre la sanction de l’Automne dans les dents de ses ennemis. Il paraît que ça a quelque chose d’impressionnant de voir les vêtements disparaître, les flammes pousser sous la peau, dévorer le corps. Il paraît que ça fout la trouille de t’voir l’utiliser, frapper. Toi, t’aimes sa puissance, sa chaleur. C’est comme si les flammes étaient toujours là, qu’elles s’agitaient en toi. Le feu danse dans ta poitrine, t’assure, te rassure ; t'es jamais seul, il est toujours là. En allié, en ami.
temper trap Tu peux pas le nier, ne pas l’avouer : t’as l’Automne dans les veines. T’as ce feu qui se déverse dans le sang, aussi sûrement que l’oxygène. Alors il parait qu’t’es (IMPULSIF, SANGUIN), qu’tu donnes plus souvent des coups qu’la parole.  Il paraît que ça va mieux avec les années, qu’t’as un peu appris à te contrôler. Il paraît que la rigueur militaire t’a cassé, broyé. C’est pas vraiment vrai. Tu sais que les feux furibonds te grignotent toujours, te dévorent inlassablement. Et que dans le cœur, c’est la pagaille des sentiments. Tu ressens vite, fort. Tu prends parfois pas le temps de réfléchir, te laissant emporter, ravager. ⊹  Il y a quelque chose d’(IMPLACABLE,  D’IN- FLEXIBLE) chez toi. T’es pas le genre d’homme qu’on fait fléchir lorsqu’une décision est prise. T’es pas le genre d’homme qui change de cap, d’avis. On dit même qu’t’as (LA TÊTE DURE), t’es aussi buté que n’importe quel bête à corne. C’qui fait qu’t’as la (RANCUNE TENACE), qui t’encrasse le myocarde. T’as du mal à oublier, t’as du mal à pardonner. ⊹   T’as un sens du bien, du mal assez poussé et (LA MORALE EN ÉTENDARD) . Tu sais ce qui est bon, ce qui est juste, ce qu’il convient de faire et de ne pas faire. Et t’y crois à la justice de l’Automne, à cette main armée que tu défends corps & âme. Parce qu’on t’a appris qu’cette justice-là était bonne. Parce qu’on t’a appris qu’une fois sa dette payée à la société, tout pouvait être oublié. Alors tu traques les ennemis de l’Automne, tu les écrases de ta godasse, prêt à tout pour ton coven, prêt à faire le bien. ⊹   T’es de ceux qui sont nés (COMBATTANT, BATTANT). Tu lâches rien. En vérité, tu sais pas renoncer. T’as jamais appris à abandonner. Ce que tu l’as eu, tu l’as obtenu à la force de tes bras, de tes poings. Rien n’est jamais acquis, conquis. Et t’as (CETTE RAGE DE VAINCRE) au creux des tripes, au creux des veines. T’as cette ambition puissante, violente qui vient toujours s’agiter, triompher. ⊹  La plupart des gens disent que t’as (MAUVAIS CARACTÈRE). Tu grognes, tu marmonnes, éternel ronchon. Pour ne pas dire tête de con. C’est sûr, il y a plus avenant, entraînant que toi.  C’est sûr t’es borné, chiant, agaçant. Tu tolères mal l’échec et l’incompétence, ça a tendance à t’rendre (VIOLENT). Plus d’une fois dans le commissariat, on a entendu des trucs voler, toi gueuler contre celui qui avait fait foirer la mission. Plus d’une fois tu parais sinistre avec tes airs patibulaires. Ouai, il n’y a pas à dire, t’as pas grand-chose pour plaire avec tes (COLÈRES) et ta tendance à faire (TOMBER L’ENFER SUR LES TÊTES).   ⊹ T’es pas très poli. Il faut dire que ton éducation a pas été des plus bétons & à cheval sur un fatras d’apparat et de politesses inutiles. On dit même que t’as des (MANIÈRES D’OURS MAL LÉCHÉ). Tu passes pour un rustre, un personnage grossier parce que t’aboies plus que tu parles. Parce que t’es un peu trop (FRANC, HONNÊTE). Parce que les masques, tu connais pas. T’es authentique, véridique. Tu es sincère quand tu ris à gorge déployée, quand tu avales à pleine bouche un plat que t’aimes. T’as pas été éduqué aux mondanités, à la galanterie, à toutes ses conneries.  T’es toi, t’as jamais été que toi, quitter à choquer, offusquer ou décevoir. ⊹ Gosse déjà, tu débordais d’(ENERGIE). Elle pulsait en toi, brutalement, violemment. T’as toujours été difficile à canaliser, à apprivoiser. Tu as toujours été dynamique, véritable pile électrique. T’as jamais aimé le repos. Il y a encore tant de chose à faire, à donner à l’Automne. Certains diraient même que tu donnes trop. Que ça va te tuer. ⊹  On a tendance à te sous-estimer, à même insister sur ton incompétence. Tu l’es pas. Mais la force primaire, grégaire donne l’impression que t’es juste un sauvage qu’on a bazardé là au hasard. En vérité, t’es bien plus (COMPÉTENT) que tous le pensent. Ton job c’est ta vie. Alors tu t’y acharnes, tu t’y adonnes comme tu t’y abandonnes. Tu ne lésines pas sur les heures supp, tu lésines pas sur les diners pris à ton bureau. Tes collègues voient bien que t’es (UN BOURREAU DE TRAVAIL), t’arrives tôt, tu rentres bien trop tard. On dit que t’as pas vraiment de limites pour ce taff. On n’imagine pas qu’tu le prends comme un vrai devoir envers ton coven, envers ton suprême. Si toi, tu l’fais pas, qui le fera ? Personne n’aura le (COURAGE) que t’as. Personne n’aura la rage, la dévotion que tu y mets. Toutes les fibres de ton corps sont habités par ce devoir que tu dois à ton coven. Et ce que tes supérieurs apprécient, c’est qu’t’as pas peur. Pas peur de prendre les décisions difficiles. Pas peur de risquer la peau de tes hommes. Mais que tu feras tout pour les ramener à la maison. T’en as perdu mais si tu le pouvais, tu ferais en sorte de plus jamais en perdre. ⊹   >   Entre tes paumes abîmées, il y a pourtant cette (TOLÉRANCE) envers le genre humain et les porteurs de gemmes. Il y a le refus d’être mauvais avec eux parce que tu pourrais l’être. Certes, le fort gobe le faible mais tu as promis de protéger les plus faibles. T’as promis de juste corriger ceux qui le méritent. Et t’en veux pas aux sans-magie, t’en veux pas aux bannis. Ils ont déjà été punis après tout, non ? Et plus d’une fois, t’as tendu la main à ceux que le destin pillait, volait. Plus d’une fois tu l’as aidé à se relever. T’as rien contre eux, tant que ce sont pas des criminels. Et cette (BIENVEILLANCE) te couture le cœur à chaque mouvement, à chaque pensée. T’es pas du genre à écraser parce que tu peux écraser. T’es pas du genre à cogner parce que tu peux cogner. Non, tu le fais que quand c’est mérité. Il paraît que tu as promis, juré de les protéger, de jamais les abandonner. Il promet que c’est parce que tu crois encore que tout cela peut bien finir. ⊹  Une fois que t’es à l’aise, l’(HUMOUR) glisse. Les rires sont assumés, dévoilant (DES PROFONDEURS DE TENDRESSE INSOUPÇONNÉES), (DES AMITIÉS EN PAGAILLE). La vérité c’est qu’t’es faible face à ceux que t’aimes. La vérité c’est que t’es trop confiant envers eux et que tu leur donnerais tout. Tu veux les protéger, les aimer, profiter du temps, au final, si compté. Mais encore faut-il dépasser la première impression. ⊹   (KEY WORDS) fighter ; brave ; bad temper ; good heart ; tolerant ; instinctive ; workaholic ; dynamic ; bitter ; fair ; violent ; grumpy.
credits crédit des images

la police les hommes & les femmes sous ses ordres, ceux qui lui sont loyal, ceux qui pensent que sa tolérance est une faiblesse, ceux qui l'apprécient, ceux qui le détestent, ceux qui sont devenus des amis ou des ennemis. (illimité, à approfondir selon les cas)

les alliances sorciers de la night, de la winter, etc

les défiances sorciers de la summer & de la day.  

nota bene n'hésitez pas, j'ai besoin de tout sous leon & je suis ouverte absolument à tout (des amis, des amants, des alliés, des ennemis). et même si vous n'avez pas d'idées, on peut sûrement trouver