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 (bereon) set fire to the rain

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MessageSujet(bereon) set fire to the rain      #☾.      posté le Mar 19 Mar - 0:17
Leonhard Adler
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Leonhard Adler
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timelapse : (trente-neuf années) qui se lisent sur ton visage, qui tracent des ridules au coin des yeux, qui cognent à la gueule aussi sûrement qu'tes poings dans le nez de tes ennemis. trente-neuf ans qu'tu veux faire tout bien, qu'tu veux laver le monde des pourris.
heart rate : la solitude de façade t'est vitale. parce que si t'avoues la vérité, t'avoueras qu't'es pas normal, banal. t'avoueras qu't'aimes pas les femmes. mais tu sais qu't'as le coeur qui vacille, qui s'alourdit sans lui. tu sais qu't'as besoin de lui. et t'as pas honte d'être (en couple) avec isidore lenoir. t'as pas honte de l'aimer, t'as pas honte de lui appartenir, de le retenir dans l'ombre de tes draps, de tes bras. et t'es qu'à lui. t'es rien qu'à lui.
purpose : (commandant de la police) est ce qu't'es. t'es l'homme qui en dirige d'autres, t'es celui qui gueule les ordres, qui tolère pas le désordre. tu veux que ça file droit et fissa.
magic scale : t'es (niveau trois) parce qu'il y en avait besoin pour les promotions. parce que c'était ton devoir de t'ériger au plus haut pour t'attirer le respect de tes hommes. parce que tu fais jouer la puissance sur la rive de tes doigts : dangereux, patibulaire, exigeant.
powerplay : on t'a surnommé (la torche humaine). sous ta peau palpite un feu intérieur salvateur, vengeur. sous ta peau crépite l'incendie menaçant, enivrant. il paraît que c'est impressionnant de voir ton corps se déchirer sous les flammes, un bras s'embrasser, attenter la punition sévère, guerrière de l'automne.
loyalty : fils de l'automne, tu ne peux lui être que (fidèle). t'as appris à aimer sa sévérité, sa témérité. t'as été façonné, dessiné par ton coven et pour tout ce qu'il t'a donné, t'es prêt à offrir autant. t'es prêt à t'offrir toi.
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set fire to the rain
When I lay with you
I could stay there, close my eyes
Feel you here forever
You and me, together, nothing is better



« M’sieur ? Les trois coups à la porte de ton bureau t’indiquent que le jeune policier souhaite te parler. Il y a un geste qui l’invite à rentrer alors que tu ne lâches pas des yeux l’épais feuillet de documents. Pa’lez, tu mâchonnes le bout de ton crayon en lui offrant un regard. Il y a une fille qui dit qu’elle vient pour vous. Nom ? Berenice laplusbonne Stark-Brekker. Un sourire s’arrache ainsi qu’un grognement satisfait lorsque le qualificatif quitte les lèvres de la recrue, tu devines que c’est parce qu’elle l’a un peu asticoté, taquiné & qu’il ose plus ne plus la citer. Elle veut quoi ? Tu te reposes sur ton dossier de fauteuil, surpris qu’elle vienne jusque dans l’enceinte du poste de police pour te voir. Elle dit qu’on est mardi et que vous comprendriez, il se gratte la tête, mal à l’aise. Tes yeux dérivent vers ton portable, t’aurais pourtant juré qu’on est qu’lundi. Et pourtant en lettre capital s’affiche l’heure et la date, ainsi que les appels & les messages manqués. Bah, j’ai comp’is. Dites-lui qu’j’arrive aussi vite que possible. Il se mord la lèvre, interdit. Elle a dit que vous diriez ça & elle m’a dit d’vous dire qu’aussi vite que possible, ça comprenait dans cinq minutes. Pas une de plus sinon qu’elle va, je cite, rayer votre voiture. Ma caisse ? P’tain, elle oserait pa - ? Et tu sais que Berenice ose tout, ne s’interdit rien. Ok, ok, c’est bon. J’arrive. Un silence, il ne bouge pas. Bha allez-y, dites-lui. » Et il rosit, rougit avant de déguerpir.

Rapidement, tu jettes deux ou trois trucs dans ton sac de sport, tu te glisses dans ta veste, et t’emboite bientôt le pas du garçon. Sur le chemin de ton bureau à l’accueil, t’écris un message : J’serais disponible un peu plus tard ce soir. Pris en otage par Berenice (pas au sens normal du terme), on va boxer et boire. J’aimerai bien te voir après. Enfin si t’as envie. T’as pas envie qu’il te repousse, t’as pas non plus envie de te priver de lui. Tu sais que ça donne l’idée que c’est purement physique, qu’il y a juste son corps qui t’intéresse. C’est pas le cas, ça n’a jamais été le cas. Te sens pas obligé, hein ? Et puis, on est pas forcés de … tu vois. J’ai juste envie d’t’tenir dans mes bras, de dormir contre toi. T’envoies avant d’effacer, de reculer, fourrant l’objet dans ta poche pour t’empêcher de le regarder avec anxiété. T’as jamais aimé attendre ; ça te fout la rage dans le sang, ça te donne envie de foncer jusqu’à la Delmar & d’exiger, de sommer de lui parler.

En vrai dans le ventre, il y a la peur de le décevoir. Il y a la peur qu’il veuille plus te voir. Il y aussi, plus timidement, plus naïvement, l’envie d’y croire. « Salut Bere, tu t’approches de la brune, lui collant une bise sonore sur chaque joues. T’vas bien ? » Le sorcier, faisant la réception, ne prête même plus attention aux jeux de la Brekker, se contenant de simplement t’appeler. Il sait que quand elle vient, il faut juste te faire rappliquer. Il y a que ça à faire. Un sourire caresse tes lippes alors que tu tends ton bras, l’attrapant par les épaules avec une simplicité déconcertante, évidente : « J’t’manquais trop ? Tu la taquines doucement, tranquillement dans un grognement. C’est pour ça qu’t’es passée ? » Tu lui laisses toujours le luxe de répliquer, de provoquer, de s’amuser. Parce que tu l’aimes bien Berenice. Parce que tu l’as toujours bien aimé.

Ils ont beau dire qu’elle est brisée, explosée, qu’elle ne fera plus jamais une bonne automne. Toi, tu sais qu’c’est pas vrai. Toi, tu sais que son sang, c’est l’honneur, le devoir, la même histoire. Toi, tu sais qu’elle a beau en chier, qu’elle s’est trop bagarrée pour pas être respectée, saluée. Elle a trop bataillé pour juste être bonne à jeter, à oublier. Et t’as jamais compris la pitié, le désintérêt, elle est pas si cassée. Elle sait que se relever et continuer à cogner.

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MessageSujetRe: (bereon) set fire to the rain      #☾.      posté le Lun 1 Avr - 0:16
Berenice Stark-Brekker
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Berenice Stark-Brekker
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timelapse : (vingt sept ans) d'histoires gravées sur la peau, au fil des cicatrices à fleur de peau, des ecchymoses à fleur d'orgueil & des stigmates sous-cutanées.
heart rate : (célibataire) car le cœur est volage, joueur. berenice séduit, enfant terrible, comme si elle n'était pas l'automne brisé, l'amazone mutilée - et l'illusion ne tient qu'un moment.
purpose : (resp. de clockwork orange & armurière) le rêve d'un avenir martial s'est brisé, mais pas la détermination à jouer un rôle dans la machinerie de l'automne. ses mains n'appliquent pas les sentences et les ordres mais forgent les outils de la justice et de la paix. ils arment les gardiens de leur monde.
magic scale : (niveau 3) le temps que ses frères et soeur ont passé à s'armer, à s'entraîner ; berenice l'a également passé à s'améliorer, à tous les surpasser pour prouver que les forces qui lui restent ne sont pas à négliger, pour montrer qu'une Brekker (ou une Stark) n'est jamais vaincue avant d'être morte.
powerplay : (pyrurgie) aujourd'hui, le feu danse sans elle, guidé par cette volonté qui s'échappe au-delà d'un corps brisé, magnifié par cette psyché paradoxalement libérée des entraves de la physicalité.
liability : (espoirs déçus) promise à un grand avenir militaire, talent parmi les jeunes de l'automne - la destinée, pourtant, a brutalement dévié sous la magie d'un red thief qui l'a mutilée. (infirme) on lui avait promis l'immobilité et le fauteuil mais berenice s'est relevée, s'est remise à marcher, refusant d'être laissée en arrière. aujourd'hui, jambes fragiles dont l'équilibre précaire n'est pas stabilisé par les béquilles que l'orgueil leur refuse, même si le prix a payé est d'intenses, incessantes douleurs.
loyalty : (enfant de l'automne) loyale au coven et à sa raison d'être, loyale à la famille et aux stark, berenice n'est pas d'accord avec tout mais elle espère encore pouvoir concilier son idéal de paix et d'égalité pour tous, sorciers comme humains, avec ce qu'elle est, ce qu'on lui a appris à être.
warning sign : (bereon) set fire to the rain GXGogT

7 tracks - #1. unstoppable (sia) #2. bones (wens) #3. soldier (fleurie) #4. yellow flicker beat (lorde) #5. believer (imagine dragons) #6. wolf in sheep's clothing (set it off) #7. sweeter place (svrcina)

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AUTUMN COURT
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set fire to the rain
berenice & leonhard ; march 2219


(Berenice est de mauvaise humeur aujourd'hui) D'abord, le livreur qui livre le mauvais menu à midi (des frites, bordel, elle veut des frites avec son burger, et pas une salade de carottes, elle n'est pas un mannequin ou un lapin, putain), puis ce Summer qui tente de la lui faire à l'envers, de la courtcircuiter en négociant un prix avec un de ses armuriers.

Bref, c'est surtout dommage pour le jeune, tout poli, tout fraîchement recruté, qui lui a demandé qui demande le chef. « Berenice laplusbonne Stark-Brekker » Parce qu'une Berenice agacée, c'est avant tout une Berenice qui veut s'amuser. « Miss Sta-Stark, se met-il soudainement à balbutier, gêné par ce qu'elle vient de lui souffler à l'oreille : Je ne p-peux pas, v-vous » Le rire résonne à l'accueil du Metropolitan Police Station, interrompant le jeune. « Il va falloir, sinon je lui demanderai et j'aurai toute la vérité. » Il a un regard mal à l'aise, et le bout des oreilles rouge. Il y a des rumeurs, des bruits qui racontent que Leonhard Adler, leur chef, se tape régulièrement la fille Brekker, celle qu'on ne mariera jamais. Vu que le chef est marié au travail, quelque part, ça tombe sous le sens, non ? Dans le regard de la recrue, le doute s'inscrit, se lit. Sans doute qu'elle pourrait, sur un caprice, foutre en l'air le travail d'années d'études et d'entraînement, se dit-il. Et si c'est pas Adler qui met du plomb dans l'aile de la toute jeune carrière, peut-être bien que ce sera directement le suprême, son cousin, qui s'en chargera. Alors il acquiesce, elle lui décoche un clin d'oeil mutin, ne prenant pas la peine d'apaiser ses angoisses. « Et préviens-le : aussi vite que possible, ce sont les cinq minutes qu'il me faut pour commencer à défigurer sa voiture » Parce qu'elle connait par coeur Leonhard, sa vision tordue du temps dès qu'il s'agit du boulot. Elle a la même. Chez elle aussi, les minutes s'allongent étrangement quand elle est concentrée, focalisée sur une tache. Sauf qu'ici, ce n'est pas chez elle - et que c'est lui qui est déjà presque à la bourre pour leur entraînement.

Quand le regard accroche la silhouette massive de l'automne, Berenice ne manque pas les yeux rivés sur l'écran d'un téléphone et les doigts pianotant sur le clavier tactile. Et un large sourire se trace, redresse les coins d'une bouche rieuse. « Salut Bere. T’vas bien ? » Une étreinte l'enferme (essaie en tout cas) aussitôt contre elle alors qu'elle lui rend les bises avec trop d'enthousiasme - il va sûrement deviner qu'elle est de mauvais poil : « ça ira beaucoup mieux quand on sera que tous les deux, darling. » Les mots sont comme un ronronnement joueur alors qu'elle s'appuie discrètement sur lui, soulageant les jambes en soulignant la rumeur. Autour d'eux, ça se dit sûrement qu'ils vont coucher ensemble. Dans l'esprit de la sorcière, il aura bien corps-à-corps et grognements mais rien qui n'impliquera lit et draps. « J’t’manquais trop ? » Hochement de tête. « C’est pour ça qu’t’es passée ? » « Bien sûr, il n'y a que toi qui sais m'épuiser » répond-elle sans gêne, jetant son propre sac de sport sur son épaule et s'emparant du poignet de Leon pour le traîner à sa suite. Il n'y a que lui pour ne pas la ménager sur le ring, la prendre pour une handicapée, une brisée bonne à jeter. Il y a bien son frère aussi mais lui et sa culpabilité parviennent en général à l'épuiser nerveusement avant d'arriver à bout de ses réserves physiques. « A la prochaine, tout le monde ! » Le sorcier de l'accueil la salue, imperméable à ses jeux, tandis que le jeune la fixe interloqué quand, passant la porte, elle lui décoche un clin d'oeil, ponctué d'un provcateur « il ne faut pas avoir peur de moi, tu verras que je ne mords qu'avec amour »

« Je suis contente de te voir » admet-elle, et d'un geste négligeant, le sac de sport est abandonné sur la place arrière de la jeep bleue dans laquelle elle grimpe en ravalant le soulagement d'être enfin assise. « Et toi ? Comment tu vas ?, demande-t-elle dans le moteur démarre : Au fait, c'est moi qui choisis le restaurant ce soir. » Avec un peu de chance, il ne se rappellera pas que c'est déjà elle qui a choisi, il y a deux semaines de là, quand ils se sont vus.

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