basil ; million eyes

identity Oiseaux de mauvaises augures, funestes présages dansant dans l’aube, les (DELMAR) oscillent entre horreur et douleur. On sait ce qu’ils sont, ce qu’ils seront toujours : maudits. Les rumeurs diront pour certaines que ce n’est que justice ; un de leur lointain ancêtre a voulu jouer avec le cœur d’une sorcière puissante, un des leurs s’est amusé de son amour, lui aurait tout pris, même son cœur. Et puis il l’a délaissé, abandonné pour en courtiser une autre, pour l’épouser. Ivre de rage, la mal aimée maudit son ancien amant et ses descendants. Elle promit : « malheur à ceux qui ont vos faveurs, ils paieront le prix du sang pour votre amour. ». Et c’est ainsi que les premiers amis, la première épouse tombèrent.  D’autres soufflent que ce n’est que la vengeance des étoiles qui suit sa course : avides de pouvoir, les Delmar loupèrent un sort et la magie a toujours un prix , alors ils furent maudits. Alors ceux qu’ils aimeraient le plus leur seraient progressivement, lentement enlevés. Eux qui avaient joués avaient, au fond, tout perdus. Nul ne sait comment, ni pourquoi, ils furent victime du mauvais sort. On a peu à peu perdus l’origine de l’histoire pour ne garder que la crainte, que les moqueries, les dénis. Et l’amère vérité : ils sont maudits. Au début, on crut au hasard, au mauvais alignement des astres. Puis peu à peu, il fallu se rendre à l’évidence ; les amours flétrirent, périrent. Tous ceux qu’un Delmar approchait, voyaient le trépas se rapprocher.  Alors on finit par les laisser seuls, on finit par murmurer qu’il ne fallait pas s’en amouracher. On finit par souffler qu’on avait déjà trop perdus pour eux : une fille qui avait eu le malheur de se lier d’amitié avec une héritière Delmar tomba lentement malade, un fils qui s’amouracha d’une gamine Delmar connut un accident tragique. Oui, on avait trop perdus à cause d’eux. Peu à peu, les Delmar furent mis au banc de la société, conviés à ne plus se rendre à aucune mondanités. Devant l’absence de remèdes, ils se reclurent, s’enfermèrent dans la solitude. Peu à peu, on s’en moqua, on ria d’eux.  Pourtant, ils continuèrent à œuvrer pour le bien de l’aube, ils continuèrent à soigner, à espérer être enfin aimés, respectés. Inlassablement, perpétuellement, ils aident, veillent. Et puis sans que vraiment personne ne le voit, ils sont revenus peu à peu dans la lumière, lassés d’être des parias, estimant avoir suffisamment payés pour les erreurs de leurs pairs. Peu à peu, tes sœurs et toi rêvez de mieux, de plus. Il y a le besoin d’être reconnu, vu. Il y a là la volonté de tout faire pour sortir des ombres ; vous méritez mieux, plus. Vous voulez plus. Soufflée avec exigences et, pourtant, bienveillance, (BASIL) a longtemps glissé des lèvres de ta mère lorsque tu échouais à ce sort que Virginia avait tant de facilité à exécuter. Lorsque ce n’était pas ton identité entière qu’elle sommait lorsqu’elle s’agaçait d’une de tes attitudes. Il y a, au fond, son amour maternelle dans chaque lettre, dans chaque syllabe. Un amour qui vous a tous poussé vers l’excellence, qui vous a poussé à embrasser pleinement toute votre puissance. Ta mère n’a jamais caché ses ambitions de son port altier, de son visage figé dans l’hiver. Elle n’a jamais diminué, ni malmené vos rêves. Bien au contraire, elle les a cultivé, elle les a fait grandir. Tu n’as jamais su si c’est parce que le traitement qui vous était réservé l’hérissait ou si c’était la mémoire de son époux qui l’animait.  Adelaide Delmar n’est pas née avec le sang maudit, pourri.  Elle est née dans la sagesse et l’amour du savoir de l’hiver. Elle était celle qui a aidé ton père sur ses recherches sur la malédiction et elle n’a plus jamais quitté ses côtes. On l’a prévenu que son amour la tuerait, qu’elle ne lui survivrait pas. Elle n’en a jamais eu que faire. Elle n’a jamais voulu écouter. Elle l’a aimé et lui a donné trois enfants, dont toi. Et puis au final, c’est son époux qui a choisi de disparaître, qui a refusé de la voir s’en aller. C’est lui qui est mort.  Forcée d’élever trois enfants en bas âge, Adelaide s’est imposée en figure de proue de sa famille. Véritable matriarche, elle vous aime mais s’est refusée à l’apitoiement, aux bons sentiments. Elle a tout exigé de vous et vous a, paradoxalement, tout donné.  Même vos prénoms. (BASIL) fut choisi pour son père mais aussi pour sa signification : roi. Son père fut un grand sorcier, souvent conseiller des puissants de ce monde. Et ce prénom fut porté par flopée de sorciers puissants dans sa famille. Elle espérait sans doute te donner la force de ses ancêtres, le goût des conquêtes dès ta naissance. Elle espérait que la royauté insufflée suffirait à faire plier le sort réservé aux tiens. Et sans nul doute que tu as comblé ses attentes, même si tu sais que votre force, ta force, tu lui dois. Tu le dois à cette femme qui a tant sacrifiée pour vous. Et qui se sacrifierait encore sans sourciller, ni vaciller.   Après tout, jamais tu ne lui rendras, tout ce qu’elle a fait pour toi. Jamais assez tu ne l’aimeras.
birth star Né le (11 FÉVRIER 2175), tu es le deuxième né de ta mère, son unique fils. Tu as poussé tes premiers cris au San Junipero Hospital comme tous les membres de ta fratrie. C’était un jour froid et brumeux, un de ceux qu’on connaît si souvent, banal et sans particularité. Tu as aujourd’hui (QUARANTE-QUATRE ANS) à peine entamées. Certains te voient déjà dans la force de l’âge, toi, tu n’en as que faire, les années filent sans se ressembler. Tu n’as jamais accordé une quelconque importance à ton âge.  
activities  Il y a toujours cette urgence, cette exigence entre tes doigts.  Il y a là les appétits pour tromper la mort, la dévier de quelques années, lui voler les âmes de ceux qui ont combattus, qui ont été vaincus mais pas abattus. Encore et toujours, tu t’es battu pour les retenir. Encore et toujours, tu as couru après la vie, ses interdits. Tu n’es pas de ceux qui croient que le glas de la fin sonne un véritable abandon de l’existence, tu n’es pas de ceux à croire que la mort ne peut pas être trompé, détourné, tué. Et il y a ce rêve fou, cet espoir de vaincre le plus grand ennemi de l’humanité qui t’a toujours couru le long de la peau, à fleur de mots. Il y a l’impression que c’est une course folle entre la mort et toi ; que plus tu en sauves, plus elle en rafle. La danse ne semble jamais vraiment s’arrêter, les mystères sont encore opaques, la solution s’effleure du bout des doigts mais n’est jamais vraiment capturée, emprisonnée. Ce n’est pas de l’excessive compassion, une déraison de l’amour du genre humain qui t’anime, c’est le challenge à abattre, c’est le défi à braver, dont tu dois à tout prix t’emparer. Jamais tu n’as été plus excité parce que tu ne comprends pas, par la possibilité de réaliser l’impossible, par la beauté de la science. Alors tu cours encore et toujours en tant que (CHIRURGIEN URGENTISTE AU SEIN DU SAN JANIPERO HOSPITAL). Encore et toujours, c’est la même urgence à tuer la mort.
heart rate Ta mère a vite renoncé à l’idée de te filer une fiancée des rares familles sorcières qui aurait acceptée d’unir leur lignée à la vôtre. Tu oubliais sans cesse les rendez-vous, te défilais à la moindre mondanité, préférant ton travail à de quelconques liens maritaux. Tu es donc encore et toujours (CÉLIBATAIRE). Et plus les années passent, plus on a renoncés à te glisser la bague au doigt. On a vite compris qu’il n’y avait que de l’intérêt, de l’amour pour ton travail. Que ta femme était sans doute la chirurgie magique et qu’elle n’attend pas, ni ne souffre de la moindre rivalité. On se plaît même à dire que tu es sous doute innocent, vierge de tout jeux d’amour et du hasard. Tu n’as jamais commenté, gardant dans l’ombre des (sans doute) histoires trop tragiques pour être conté, raconté. Pourtant, (LE DÉSIR) pour un être est vivace, s’enlace plus brutalement, violemment à chaque rencontre. Sans doute que si tu cèdes tu vas t’y brûler, t’y immoler.
groupL’aube ne saurait jamais vraiment mourir, s’endormir en toi. Sans cesse, ton coven exalte de chaque partie de toi. Sans cesse, ton coven vibre en toi. Fils de l’aube, tu es dévoué à la (DAWN COURT). Fils de l’aube, tu as été béni par des dons de guérison précieux qui te pousse à être au service des autres, à chercher à tromper la mort. Comme bien des Delmar, tu es d’ici et non d’ailleurs. Tu es enfant de l’aube, évoluant hors de tout. Hors du temps, tu chéris l’innovation, mais tu es toujours un peu prisonnier des traditions. Il y a là les choix que tu as déjà mille fois faits, que tu referas sans hésiter, sans détourner les yeux : les tiens, le coven. Quand bien même, vous devez saigner les red thieves. Quand bien même vous devez reprendre la magie volée. Tu le feras sans plier, sans t’incliner. Entre eux et vous, ce sera toujours vous.
powerplay Le (CONTROLE DU SANG) est le pouvoir qui t’a été accordé. Rouge rubis, le liquide roule dans chaque veine, pulse dans une danse sourde à la vie, à la mort. Et son contrôle s’accroche plus fort à tes phalanges, roulant plus sourdement à chaque battement de cœur. Découvert à l’adolescence, tu es parvenu à stopper l’écoulement d’une blessure superficielle de ta petite sœur. Et tu n’as eu de cesse de l’améliorer, de te dépasser. Il te fallait plus, d’avantage de ce pouvoir. Il te fallait pouvoir sauver des vies avec. Alors tu t’es imposé plus, encore : les hémorragies doivent pouvoir s’arrêter d’un simple contact, les cœurs valdinguer, s’arrêter de quelques gestes précis. Tu as fini par approcher un contrôle quasi-parfait, mais à quel prix ? Les migraines sont tenaces, vivaces à chaque fin de journée. Les évanouissements parfois présents quand tu te fais trop gourmand. Il arrive même parfois que tu saignes du nez. Tu fronces toujours les sourcils, agacé de tâcher tes vêtements, furieux de ne pas être parfait.
temper trap  Les gestes sont toujours lents, assurés, mesurés, renforcé par ce (CALME OLYMPIEN), serein qui t’étreint. Tu es l’homme que rien ne semble touché, désarçonné. Les événements glissent sur toi sans t’émouvoir, sans échappatoire. Drapé dans la mesure, tu écartes d’un revers de manche les émotions contraires, les jugements sommaires. Tu penses, réfléchis, évalues sans jamais fléchir, pâlir face à l’urgence. Tant et si bien qu’on dit que rien n’est vraiment naturel, tout est un peu artificiel dans tes gestes mécaniques, dans tes pensées logiques. On te dit (INHUMAIN), les rouages d’une machine ayant remplacé, évincés les battements de cœur. On dit que derrière l’armure de la blouse blanche, il n’y a rien que du vide. On dit que monsieur Delmar n’a plus vraiment d’âme, qu’elle s’est perdue entre deux grimoires de médecine magique. En vérité, elle est bien là, capiteuse et tumultueuse. Tu as simplement décidé de pratiquer une (ECONOMIE DES SENTIMENTS) ; c’est usant de s’inquiéter, d’avoir le cœur sans cesse lacéré par des inconnus peu méritants. Après tout, tu ne te soucies que de ceux qui sont importants, que de ceux que tu aimes vraiment. ❖  L’apanage des esprits brillants, puissants, est, sans doute, l’(EXIGENCE) qu’ils se doivent. Tu n’échappes pas à la règle ; sans cesse la passion rime avec pression, sans cesse le corps rigole de toute cette fatigue, de toute cette envie d’apprendre, comprendre, explorer, tout arracher. Comme si le monde te devait le savoir, comme si il était nécessaire pour toi de le voir pour le croire. Alors l’âme vibre pour la médecine magique, s’abandonne à ses tâches sans mesure et (PRÊT A TOUT), même à l’usure. Alors tu te tues pour un peu de connaissance. Certains y voient un cruel besoin de reconnaissance, d’autres pensent que tu n’es qu’un être d’(INDIFFÉRENCE) hormis envers ton art. Et cette cruauté que tu te portes, ce besoin d’exigence qui t’érode s’imprime à chaque grain de peau, léchant la fatigue qui menace de t’envahir, flirtant avec l’impatience qui ferait fléchir la résolution de n’importe qui. Mais tu n’es pas n’importe qui, tu résistes, tu ne cèdes rien. Tu ne sais ni renoncer, ni t’arrêter, quitte à t’en oublier. (DÉTERMINÉ), la seule passion t’empêche de t’effondrer, de te vautrer dans la fatigue. Déterminé, ils sont nombreux à penser que tu pourrais en mourir, en souffrir. Mais ils savent qu’il est impossible de te changer, de t’en détourner. Ils savent que là est ta destinée. ❖ On parle souvent de ton ainée, on loue son intelligence sociale, son goût pour les mondanités, son intérêt pour la bonne société. On t’oublie un peu plus, ayant préféré l’ombre de ton aînée, chérissant le temps gagné à soigneusement éviter toutes ses réceptions, toutes les interactions aussi inutiles que futiles. Et il est vrai tu es tout aussi (INTELLIGENT) que tes soeurs mais vous êtes un assemblage aussi complémentaire que nécessaire : elles ont cette capacité à se faire aimer, à glisser le mot juste, toi, tu as la science pure, dure entre les doigts. Les expériences glissent, s’infiltrent, logiques et mécaniques. Mais tu sais saisir plus, d’avantage ; tu comprends, apprends. Et tu sais ce qui s’y cache, ce que nul autre ne saurait y voir, apercevoir. Tu sens les choses, plus que tu ne les vois, plus que tu n’y crois. Tu sais où aller d’un souffle, quel diagnostic poser, presser. Et c’est cette soif perpétuelle, éternelle de connaissances qui te pousse à sans cesser chercher, à ne jamais te reposer. Et du bout des doigts, tu sauves des vies, tu apprivoises la magie, redores aussi l’image des tiens. Il est étrange de voir que c’est l’unique besoin de dompter les problèmes les plus complexes, la magie la plus tordue qui t’émaille, il est saisissant de voir que tu sais ce que tu vaux, ce que la vie te doit mais que jamais tu n’as effleuré l’idée d’une reconnaissance éternelle pour les grandes choses qu’on t’a promis. Il est curieux de voir que ce n’est pas le besoin de gloire qui te frappe mais bien (L’AMOUR DE LA SCIENCE). ❖ Mal adapté, peu taillé pour les exigences d’un monde d’apparats, tu te drapes d’une (FRANCHISE) mal acceptée, d’une indifférence parfaitement assumée. Tu n’as jamais compris l’intérêt des ronds de jambes, des politesses. Tu n’as jamais compris la perte de temps des relations humaines. Pour toi, tout doit être simple, mécanique. Tout doit se compter en poignée de secondes. Tu chéris la franchise, les gens directs, l’honnêteté. Les mensonges te tirent des soupirs, le politiquement correct t’agace. Et ça en fait vriller plus d’un quand tu lâches un « ah » à leurs simples problèmes, quand tu te détournes pour des histoires de robes et fanfreluches. Tu ne t’émeus pas, tu ne trembles pas. (DÉNUÉ D’EMPATHIE), on souffle monstre glacé, cœur de pierre, on s’étonne de te savoir sauveur de vies, chirurgien parfaitement expérimenté, totalement dévoué à son métier. On s’étonne car tu n’es pas sensible, soucieux de ceux qui t’entourent. Ce n’est pas tout à fait ça, ce n’est jamais aussi simple que ça y ressemble. Tu as juste décidé de ne pas t’émouvoir de ce dont tu n’es pas le maître et ce qui pourrait t’empêcher d’être efficace, perspicace. Alors tu tries, compartimentes, élimines les données inutiles, débiles : les sentiments en font partis. Les sentiments sont la ruine du calme olympien qui est le tien. Et tant pis, si tu es mal adapté à ce monde. Tant pis, si on ne te comprend pas. Tu n’as pas besoin d’être apprécié, aimé pour travailler. ❖ Et pourtant, il reste une chose inchangée : l’amour, la (LOYAUTÉ QUE TU PORTES A TON SANG). Leurs pensées, leurs avis sont les seuls à pouvoir t’arrêter, te stopper. Plus d’une fois, c’est l’inquiétude de ta mère qui t’a fait plier, t’a forcé à te reposer, à délaisser un travail. D’autres fois, ce sont les mots de ton aînée qui t’ont poussé à accepter un bal, une mondanité sorcière alors que tu t’étais promis, juré de ne pas y aller, de ne surtout pas y poser le pied. Et puis, il y a aussi ta benjamine. Tes sœurs pour lequel tu es prêt à tout donner, tout abandonner. Ombre fidèle, on vous pense désunis, incompris les uns des autres. Si, certes, elles t’échappent, s’évadent, tu les aimes. Si, certes, elles -même ne saisissent pas totalement la dévotion, l’abandon à la passion magique, elles te chérissent. Et il y a ses promesses qui jamais ne s’étiolent : vous serez toujours là les uns pour les autres, vous serez toujours frères & soeurs. Inlassablement vous vous protégez, vous veillez les uns sur les autres. Et tu sais que nulle autre que ta famille ne t’aimera comme ils le font. Et tu sais que jamais d’autres ne te comprendront, ne t’accepteront totalement. Alors tu veux bien mourir, souffrir pour eux. ❖ Dès l’enfance, tu fus peu disposé à te laisser flouer, à renoncer. Tu n’as jamais accepté de perdre, tu n’as jamais accepté que quelque chose te résiste. Et tu continues à refuser l’échec, à mal prendre la possibilité de te tromper, de laisser un autre gagner. Si tu ne dis rien, tu restes profondément vexer d’une situation dont tu ne sors pas gagnant. Si tu ne souffles ni mots, tu sais attendre pour te venger, faire payer. Comme si ton égo refusait d’accepter que tu ne sois pas le meilleur, le grand vainqueur. C’est là, le propre des (MAUVAIS JOUEURS). ❖ KEY WORDS : bourreau de travail, incompatibilité sociale, érudit, loyal à ton coven, ect.
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wanted (dawn court) les alliés de toujours ou les ennemis qui craignent, se méfient des Delmar, qui ont perdus un être aimé par leur faute. autant d'amitié que de haine possible

wanted (sorcières/ tout coven accepté) des sorcières qui ont été fiancés à basil pendant un temps & qui ont été déçus/soulagés de ses absences & des fiançailles rompus par manque d'intérêt de l'homme

wanted (celle qui a saccagé son appartement) ils ont faillis être amants mais la sorcière a appris pour la malédiction & s'est sentie trahie, floué et n'a pas hésité à se venger en saccageant l'appartement de basil.