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 FIRE LEAF - Sam.

whatever happens, we are deathless
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MessageSujetFIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 17:05
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  • Samuel
    WINNFIELD
    I belong to the sorcerers
    surname  Le clan Winnfield ne se couvre d'aucune notoriété, famille à l'histoire récente et relativement anonyme, leurs membres se sont toutefois distingués par une dévotion indéfectible envers le Covent. Une servitude qui divisent les quatre enfants de la dernière génération.
    first name  Samuel, une ode à la simplicité, qui caractérise pourtant si bien les valeurs de ses géniteurs. Ils ne prirent d'ailleurs guère la peine de trouver d'autres prénoms, afin de souligner davantage leur indifférence à ce sujet. Son appellation est généralement réduite à Sam, ce qu'il préfère, il se présentera même ainsi dans un cadre informel.
    birth certificate 35 printemps, natif du 20 Mai 2184. Il devance ainsi sa petite soeur de quelques secondes. Secondes cruciales, qu'il rappelle souvent à l'intéressée.
    heart rate Marié à sa carrière, dévoué à son Suprême. Il n'a jamais accordé  ne serait-ce qu'un film à l'amour. Fables et contes d'enfant. Mais elle a fait irruption dans sa routine mécanique. Elle a inséré les couleurs de l'émotion dans son coeur de machine. En ce sens, elle incarne sa plus grande faille. Son expiation. Sa renaissance. Sa descendance.
    occupation Etendard de la loi, égérie de la volonté ardente de l'Autumn. Les règles font les hommes. L'insigne brodé dans le coeur, il embrasse une carrière martiale très tôt. Fleuron de la Police de New York, ses états de service s'associent à ses distinctions dans une carrière brillante. Depuis peu lieutenant d'une équipe d'intervention au quotidien bilieux, chargée de missions périlleuses au coeur de Rockaway Bay.
    perimeter Il réside à Greenwich Village, dans une maison spacieuse en périphérie du centre-ville. Entourée d'un jardin confortable, la facade vermillonne se distingue par la grande l'horloge mécanique qui trône au-dessus de la porte et dont le bruit berce chaleureusement ses habitants. La toiture ocre prend sous le soleil des reflets dorés du plus bel effet.

    temper trap La presque intégralité de son existence à été régit par l'honneur et la droiture, avec l'enseignement acharné qu'ils se cristallisaient par l'obéissance et la dévotion. Bourreau de travail, téméraire et volontaire. Idéaliste, en un sens, persuadé de la justice et la raison absolue de son Covent. Ce n'est pas un bavard, favorisant l'action, gardant ses propos pour l'essentiel. Pourtant pas impétueux, il préférera la médiation à la violence. Modèle de discipline, dans sa carrière, mais dans son esprit, pugnace et carnassier, il s'attèle à son objectif sans relâche, implacable. Discipline corporelle également, il mène une hygiène de vie irréprochable, millimétrée presque mathématique.
    Esprit aiguisé, pertinent et quiet, malgré sa carrure, il prend très peu d'espace. Patient, attentif au détail, et doté d'une capacité de projection remarquable, il fait partie de ces types capables de remarquer un détail improbable dans un scène d'anarchie.
    Orgueilleux et intransigeant, il ne cautionne nul affront à son honneur où à celui des siens. De même qu'il ne refuse aucun challenge, il prend chaque défi comme un combat. Loup solitaire, il n'est pas la plus sociale et ouverte des âmes, il veille toutefois férocement sur sa meute exhaustive. Sa fratrie, la mère de son enfant à venir.
    Enraciné dans sa perception délicate des émotions, il s'est longtemps drapé dans une armure hermétique. le faciès glacial de la loi. Mais l'éclatement ses cadets et la promesse de paternité fait basculer les fondements même de sa raison d'être.
    random facts Il s'est doté d'une légère notoriété pour être parvenu à faire réagir l'hydrogène présent dans l'eau avec son feu inné. Cela lui permet de créer d'impressionnante déflagration. - Salomon, son berger allemand est son plus proche ami. Perpétuellement au flanc de son maître, il l'assiste dans toutes ses missions - Sam est aussi peu matérialiste que vénal. Il a vécu pendant des années dans un rudimentaire appartement bien en-dessous de ses moyens. Son faible usage de black dime rend sa situation financière assez aisée. - Sam n'a jamais été en état d'ébriété, ni sous l'emprise d'une quelconque drogue, il a toujours préféré être en pleine possession de ses capacités. - Forcené de l'entrainement, comme en témoigne sa silhouette athlétique, c'est un combattant redoutable, tant sur ses facultés magiques que sur ses compétences martiales. - S'il fallait lui dégager une passion, ce serait sa fascination pour l'époque pré-soulèvement sorcier. Amoureux de l'histoire en général, il adore le parfum de souvenir que dégage ces objets.
    theme song  The most powerful weapon on earth is the human soul on fire.

  • coven In fire, we thrive. Les Winnfield sont, depuis des générations, associés à l'Autumn Covent. Discret et efficace, Sam perpétue l'héritage familial. Par devoir, par fierté, faisant du Covent la locomotive de son destin.
    powerplay Déclinaison commune de la magie du feu, des facultés en somme très partagées. Il a le contrôle du feu, et se targue d'une certaine dextérité dans son usage. C'est un élément noble qui le fascine, tantôt destructeur, ou purificateur, il réchauffe et rassemble également.
    magic scale Rang III. Il intègre ainsi un groupuscule d'élite. Son abnégation le conduit à l'excellence. Le fruit d'une assiduité furieuse, d'une progression linéaire. Il lui reste bien des objectifs à accomplir, des domaines à approfondir.
    specialty De l'éventail des facultés prêtés à un sorcier, celle qu'il le rend redoutable reste son pouvoir inné. Bien que ses connaissances dans les autres domaines magiques reste très respectables, notamment sa maîtrise des sorts, il a favorisé l'éveil et la culture de son feu intérieur, point d'orgue de sa fierté et de son allégeance.
    this is gospel
    for the fallen ones
    This is the
    road to ruins
    and we're starting at the end
    20 Mai 2184, Greenwich Village : Naissance de Samuel, suivi de quelques secondes par Elena. Les jumeaux comblent la famille de joie.

    12 Janvier 2187, Greenwich Village, 2 ans :  La famille Winnfield emménage dans une charmante maison au coeur du quartier. Il y a tout l’espace nécessaire pour l’épanouissement de leurs 3 enfants.

    26 Juillet 2189, Greenwich Village, 5 ans : Naissance de Ben, qui clôt la fratrie. Samuel développe ses premières aptitudes magique et commence son enseignement.

    30 Mars 2192, Greenwich Village, 7 ans : Gideon Winnfield, le père de famille développe une maladie auto-immune et foudroyante. Il s’envole en quelques semaines, laissant une épouse dévastée et quatre enfants meurtris.

    16 Septembre 2196, Greenwich Village, 12 ans : Sam, âgé de 14 suit désormais un cursus martial et particulièrement virulent. Sa volonté est d’intégrer les forces de Police pour faire honneur à la mémoire de son géniteur.

    7 Février 2201, Astoria, 16 ans : Etudiant en 1ère année à Astoria, il fait la rencontre d’Eliot Moriarty, qui deviendra son meilleur ami.

    19 Mars 2201, Greenwich Village, 16 ans :
    Eleanor Winnfield meurt à son tour. De chagrin diront ses enfants. En réalité, elle ne s’est jamais remise du décès de son époux, sa dépression et son goût prononcée pour l’alcool eurent raison d’elle. Joey, l’aînée, hérite de la maison et de les gardes de ses cadets.

    3 Juin 2205, Greenwich Village, 21 ans : Officiellement et fraichement diplômés, Sam et Eliott prononce leur serment d’engagement et intègre le corps de la Police de New York.

    26 Octobre 2207, Greenwich Village, 23 ans - ACT I : Samuel découvre que son partenaire, et ami, Eliott restitue du savoir magique aux marginaux. Lorsqu’il le confronte, la situation dégénère et le combat s'engage. Combat a l'issu duquel les rumeurs disent que Sam tua le renégat, la vérité est qu'Eliott s'est sciemment laisser toucher par une attaque de son adversaire.
    Il glane sa première médaille.

    7 Aout 2210, Ower Manhattan, 26 ans : Samuel est gravement blessé suite à son intervention dans rixe entre sorciers. Il passera 3 mois dans le coma et sera à nouveau récompensé. Il reprendra son poste quelques semaines après son réveil. Machine.

    4 Novembre 2212, Queens, 28 ans : Samuel arrête Ben, son propre cadet après qu'il ait prit diverses drogues. Les deux frères se disputent violemment et demeurent en froid.

    23 Mai 2215, Greenwich Village, 31 ans - ACT II : Elena, sa soeur jumelle est retrouvée battue dans une ruelle. Joey insiste pour que son frère trouve les responsables et venge sa soeur.

    24 Juin 2215, Greenwich Village, 31 ans : Samuel retrouve les agresseurs de sa soeur. Il leur fera subir un sort similaire. Cette vengeance reste un traumatisme profond pour Samuel, ayant l'impression d'être couvert de déshonneur, mais conforté par le sentiment de savoir Elena vengée. Elle se réveillera quelques jours plus tard.

    4 Décembre 2216, Greenwich Village, 32 ans - ACT III : Samuel s'amourache de Lina, une fille aux antipodes de sa personnalité. Ils emménagent ensemble quelques temps après.

    17 Aout 2217, Greenwich Village, 33 ans : Samuel est officiellement promu lieutenant de Police. Il accède également au rang III de sorcier. Un aboutissement de son travail acharné. Il dirige désormais une unité charger de descendre au coeur de Rockaway Bay et de mener des investigations sur les marginaux.

    22 Mai 2218, Rockaway Bay, 34 ans - ACT IV:
    Samuel s'offre une petite notoriété en éliminant 6 marginaux particulièrement virulents. Il fait la une des médias. Joey désapprouve grandement. Une scission dans la fratrie.

    De nos jours : Quelques jours seulement après que Lina lui ait annoncé sa grossesse et son futur statut de père, il tente d'interpeller un jeune adolescente marginalisée. Lorsqu'elle décline son identité, il découvre qu'elle n'est autre que la fille d'Eliott Moriarty, son ancien partenaire. Il la laissera filer, incapable de faire face à sa propre culpabilité.


  • You got
    two black eyes
    from loving too hard  
    pseudo  SLV.
    age  Un quart de siècle.  :hehe:
    type  PV.
    feat Jensen Ackles
    split  -
    bitch please  Quel univers, merci pour cette source fantastique d'inspiration. J'ai prit plaisir à présenter Samuel surtout parce que l'univers est aussi vaste que précis. Quant à l'esthétique... Je n'ai pas de mot. :faint: :faint: THANKS MATES.  :smile:


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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 17:06
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You got
two black eyes
from loving too hard
you got two black eyes from loving too hard and a black car that matches your blackest soul, i wouldn't change it no oh



ACT I : DUTY

Le crépuscule avenant sur Greenwich village plongeait le quartier dans une torpeur conviviale, confiné dans un écrin ocre et purpurin, entre les cliquetis des machines, et les fumées vomis par les tuyaux de cuivre. Le quartier vivait ses heures les plus animées, les commerces réalisaient leurs meilleures tranches horaires alors que les gens prévoyaient une soirée cosy et détendue à l’orée du week-end. Une insouciance quiète, voire juvénile, quand dans les artères de New York, se déroulait une véritable course-poursuite.
Samuel Winnfield était une des forces de l’ordre, masqué derrière un badge poli, un uniforme lissé, une tenue imperfectible presque mécanique. Il incarnait le prototype du flic parfait, plein de principe et éprit de la loi. Un déguisement drapé d’orgueil et d’honneur, dont il se servait pour s’excuser de toute volonté de libre arbitre. A son échelle, il vivait pourtant un véritable séisme. Bourreau de la traîtrise qu’il jugeait comme la pire des tares, le comble du déshonneur. Il cristallisait des mois de soupçons par une foulée vive et véloce. Sa proie, bien qu’il déteste ce terme, était un proche. Eliott Moriarty fut pendant longtemps le seul ami qu’il considérait. Pire encore. C’était son partenaire, depuis la sortie d’Astoria. Ils écumèrent les rues pavées de New York, badge au torse. La nouvelle vague prometteuse de la police, du Covent. Une franche amitié qu’ils enterraient par une scission incurable.

Ils finirent leur dispute effrénée dans une impasse, où le poursuivi fut contraint d’arrêter sa course.  Ils se connaissaient par coeur et Eliott savait intimement que Sam ne lui laisserait aucun repos, aucune lucarne salvatrice. C’était la fin qu’il redoutait, mais c’était également, sans aucun doute, la seule possible.
- « J’aurai préféré que ce soit quelqu’un d’autre. » lâcha sobrement Eliott, alors qu’il entendit les talons de son poursuivant s’arrêter dans son dos.
- « J’ai refusé d’y croire même lorsque ce fut évident. Pourquoi Eliott ? Pourquoi fournir aux marginaux des connaissances magiques ? C’est contraire à notre serment, à toutes nos valeurs ! Tu as trahi ton Covent, bafoué ton honneur. Et ton ami. » Le ton de Sam était glacial. Ni courroucé, ni dépité. Une distance de coeur et d’âme imposée par la discipline rigoureuse de son éducation.
- « Ami… Tu n’as aucun ami Sam. Tu es le chien du Covent. Tu aboies lorsqu’on te le demande, mords si tels sont les ordres. Si ton frère était à ma place, tes propos seraient tout aussi froids, ta volonté toute aussi inflexible. »

L’issue était inévitable, et la voix d’Eliot se faisait plus tremblante. Son corps montrait les premiers signes d’angoisse. Piégé entre un mûr et son ancien partenaire, il savait désormais que la soirée aurait une issue tragique. Il fit volte-face, détaillant le visage de marbre de son vis à vis. Comment Sam faisait-il pour garder un tel stoïcisme face une situation si cornélienne ? L’esprit manichéen de son partenaire n’avait jamais semblé aussi tranché. S’il n’était pas du côté de la loi, alors il était son ennemi. Le policier renégat prit une profonde inspiration, alors que Samuel n’avait pas vrillé d’un cil, littéralement hermétique aux palabres de son désormais ancien coéquipier.
- « Sam, je… »
-  «Tu vas devoir me suivre, Eliott. » coupa Sam, tout en espérant que son interlocuteur revienne à la raison et accepte sans débattre. Un frêle espoir, qui fut rapidement balayé.
- « Tu es aveugle. Ta foi t’empêche de te rendre compte que le monde sorcier se fracture, notre système est révolu. Nous savons tout deux ce qui m’attends en cas de reddition. »
- « Tu recevras le juste châtiment. » répondit Sam, toujours dans une diction parfaitement calme.
« Bon sang Sam ! Tu connais ma femme, tu connais mes enfants. Laisse-moi passer, ou tu les condamnes, en même que tu condamnes ton âme. »

le Winnfield senti pour la première fois de sa vie le tiraillement. Affronter le faciès alarmé et bilieux de son ami lui provoqua une montée nauséeuse de sentiment. La réponse qu’il allait donner le définirait en tant qu’humain, en tant que sorcier. Eliott lui demandait là de renoncer à tout ce quoi il avait toujours crû. D’abandonner ses convictions intimes, au prix d’une amitié ? Il peinait à définir cette notion d’attachement, permettait-elle de tout pardonner ? Il serra la mâchoire, ses interrogations étaient vaines en bien des sens. Car lorsqu’il observait Eliott dans le creux des yeux, il y voyait une âme corrompue et pervertie. Guère plus qu’un criminel, mais certainement pas un ami.

« Tu t’es damné, Eliott. C’est terminé. » Ses palabres aiguisées signifiaient la fin des discussions. Il fit un pas déterminé vers son ancien partenaire.
« Je quitterai cette ruelle mort, ou libre. » répondit alors le traqué, tandis que dans son dos, il faisait danser au creux de sa paume et un feu létal et carnassier.



ACT II : HONOR





Cette pièce était son sanctuaire, décoré de souvenirs d’un temps qu’il n’avait pourtant pas connu. L’ensemble des murs de la pièce était tapissé papier peint bruni, tandis que le sol était d’un revêtement moquette dont la teinte était similaire à celle des mûrs. Un style rétro, placé à la frontière entre l’immonde et le charmant. On y trouvait un vieux canapé en cuir rapiécé, dont le seul charme était l’âge. Un tourne disque dans le coin le plus au nord, tandis que la bibliothèque colossale de littérature ancienne habillait le majeur espace de la pièce. En son centre, un vieux poste de télévision qui ne marchait sans doute plus depuis des siècles, et tout de suite à droite de l’entrée, un bureau marginal, taillé dans le bois, sur lequel trônait une machine à écrire, le joyau de sa collection. Le tout était éclairé de trois lampes à huile d’une époque révolue. Le temple de sa quiétude, le réceptacle de ses questionnements. Il n’y cautionnait aucune présence. Mais la détresse qui saisissait son coeur en cette pluvieuse soirée d’automne, lui fit reconsidérer sa solitude.
La porte résonna deux fois, avant que la poignée ne tourne. Il ne sourcilla pas, plongé dans les méandres de ses songes les plus profonds, partagés entre une colère froide, et l’incertitude des actions à mener.

- « Que comptes-tu faire ? » Lâcha-t-elle d’un ton délicat, plus que la question, c’était la permission d’entrer, de parler, qu’elle réclamait.
Sam ne lui accorda pas un regard, se contentant d’opiner de la tête, le regard dispersé dans le néant, fixant la moquette comme si elle était capable de lui donner une réponse. C’était un homme dont on louait l’initiative, mais qui, finalement, ne prenait jamais de décision par lui-même.
- « Rien. Tant qu’Elena n’est pas en capable de faire une déposition, on ne peut rien faire. » Il avait ravalé sa rage en gardant la mâchoire serrée, tentant de ne pas succomber aux images qu’il se faisait de l’agression de soeur. Ce profond sentiment d’impuissance le faisait ployer de honte. - « Dès que l’enquête les identifiera, je… » Il s’interrompit, sentant l’écume venir chatouiller ses paupières, tandis que ses ongles s’enfonçaient dans sa paume. Le dernier catalyseur de sa lucidité.

Joey prit une profonde inspiration, comme s’il elle cherchait à tempérer ses palabres et se décida finalement à quitter le chambranle de la porte. Elle s’installa dans le vieux canapé bricolé, aux flancs de son frère, avant de passer une main tremblante sur la sienne :
- « Mais quel genre de frère es-tu ?! Elena est inconsciente dans un lit d’hôpital, battue par des types qui doivent s’en vanter, et tu parles de déposition, d’enquête ?!». s’indigna-t-elle, en une teinte désespérée et rancunière.
Elle avait resserré sa poigne de manière surprenante, alors qu’elle ne put réfréner sa détresse. Toute son aura en débordait, Joey était l’ainée, toujours avisée, toujours regardante. Sur quelques aspects de sa personnalité, Sam lui ressemblait énormément. A la différence près que sa soeur était une femme de coeur, lui de foi. Il voyait dans ses yeux, en cet instant, la furie ardente de son père, l’angoisse lancinante de sa mère. Joey était la stature indéboulonnable de la fratrie, que le désir de vengeance fendait toutefois aujourd’hui en un masque méconnaissable.

- « Je suis un homme de loi, d’honneur » se justifia-t-il, l’échine courbé, presque honteux. Un paradoxe surprenant quand à la teneur de ses propos. Il se sentait coupable de ne pas répondre aux exigences de sa soeur, il demeurait pourtant incapable d’appliquer une notion de justice différente de celle pour laquelle il avait été formaté. 10 ans après Eliott, il perçu à nouveau le déchirement de son essence, la lutte intestine entre l’éducation et l’instinct. La scène le rendait toutefois plus sournois encore, se jumelant à sa profonde détresse et à son besoin, plus enfoui encore, de punir les coupables de ses mains.
- « Tu es son grand frère, tu as une promesse marquée au fer rouge au creux de ton âme. Un homme d'honneur tient sa promesse. » Ses mots acerbes fusèrent comme des balles, avec la volonté fondée de blesser. Ils touchèrent l’intéressé en plein coeur, qui n’eut d’autre réaction qu’un regard fuyant, conscient qu’il s’accordait sur les reproches de son aînée. L’admettre remettait le sens même de sa vie en cause.

- « Tu te souviens de la comptine de Maman, celle qu’elle récitait pour nous protéger des monstres de nos cauchemars ? » reprit-elle, d’une intonation bien plus légère, légèrement choquée par la vigueur et l’intensité de ses propos, elle d’accoutumée si mesurée.
Sam laissa s’échapper un sourire, alors que le souvenir évoqué chassait ses songes les plus lugubres. Un instant de silence, puis ils reprirent en écho :
« Joey est le cerveau, le cerveau nous guide.
Samuel est les muscles, les muscles nous protègent.
Elena est le coeur, le coeur nous lie.
Ben est l’âme, l’âme inspire.
Ensemble, nous sommes un. »
- « Elena nous lie, Samuel. Ton honneur est dans ton sang, et nous partageons le même. »





ACT III : FEELS




A mesure que le crépuscule déployait ses ailes obscures sur l’Upper West Side, les artères ténébreuses du quartier commençaient à fourmiller, à l’instar d’une fleur qui patientait au soleil pour fleurir sous l’oeil distant et mélancolique de la lune. C’était l’un de ses quartiers préférés, sans doute influencé par les filiations politiques de l’Autumn et de la Night Court. Ils auraient pu choisir de se rencontrer dans l’ancien Chinatown, proches de chez eux, mais la méfiance de Sam l’avait poussé à s’éloigner au possible de son quotidien. Ils étaient installés dans un pub où il avait ses habitudes, et qui avait l’avantage d’être déjà ouvert à une heure encore qualifiable de matinale pour les habitants du coin. Il prenait un thème d’un bar français du début du 21ème siècle, avec une terrasse qui débordait des deux côtés de l’angle de la rue. A table, l’espace était confiné, créant une proximité entre les attablés et les chaises de bois aussi inconfortables qu’âgées.
Son interlocutrice était Lina, une détective privée dont il avait sollicité les services afin de retrouver les agresseurs d’Elena. Elle avait l’avantage d’être discrète, talentueuse et peu regardante au niveau de la loi, mais malgré son efficacité, Sam n’arrivait pas à gommer la totalité du mépris qu’il éprouvait à l’égard de cette jeune femme. Enfant du Covent qui en moquait les préceptes, elle s’avérait d’une indiscipline et d’un égo tout à fait désagréable, aux antipodes de la personnalité rigoureuse et militaire du policier.

- « Je peux savoir ce qui est arrivé aux deux sorciers que je me suis évertué à te trouver ? » lâcha-t-elle, légère, le regard malicieux, alors qu’elle mâchouillait la paille de son verre vide d’un air enfantin. La question hérissa Sam, qui se renfrogna d’une mine bien peu avenante.
- « Non.  L’absence de question faisait partie du deal. » rétorqua-t-il, glacial, imperméable à toute tentative de discussion. Sa présence ici était simplement dû à une parole donnée, la sienne. Lina avait refusé toute somme d’argent contre ses services et ce rendez-vous était la seule indemnité qu’elle avait réclamée. Une aubaine pour le commun des mortels, une véritable plaie pour l’intéressé qui fixait son verre d’un air de dépit.
-« Cette rencontre aussi, tu pourrais faire un effort, hein ? » elle s’arrêta un instant, le temps de recommander un verre avant de poursuivre :
-« Ne me dis pas que tu préfères les hommes !? » elle conclut sa phrase par un air faussement soucieux, toujours le faciès marqué par l’ombre d’un sourire facétieux.
- « Pfuh ».

Les minutes qui suivirent furent une succession pénible de questions indiscrètes et de tentatives de séduction. Elle était infatigable, pugnace et impétueuse. En un sens, il reconnaissait bien là le tempérament volcanique d’une fille de l’Automne. A mesure que les minutes s’égrainèrent, il admit volontiers l’élégance de son interlocutrice, se permettant à quelques reprises de laisser glisser son oeil sur les charmes de la demoiselle. Sa silhouette élancée et ses courbes flatteuses la rendait désirable à bien des égards. Sa crinière ébène et ses yeux bruns expressifs débordaient de sincérité et d’émotions. Un contraste saisissant avec l’expression glaciale et le mutisme cruel de Samuel. Toutefois, l’esprit excentrique et impertinent de Lina parvenait à l’attendrir, et ses réponses brèves et climatisées n’était dorénavant plus qu’une façade. Difficile pour lui de le cristalliser, mais il était proche de passer un bon moment.
- « Bref ! Assez parler, on va chez toi, ou on va chez moi ? » plaça la détective en un éclat de rire cristallin. Samuel arqua un sourcil désabusé, surpris et gêné comme s’il revenait à l’aube de son adolescence. Cette femme avait un drôle d’impact sur sa manière de réfléchir.
- « Je plaisante ! Tu devrais voir ta tête ! » nouvel éclat de rire, nouvelle humiliation.
-  « Je dois te laisser, SuperCop ! Je dois filer un un mari adultérin, on se revoit quand ? »
Samuel s’était levé avant même la fin de sa phrase, hâté de mettre un terme à cette corvée qu’il s’était lui même affublé. Déguisé sous le prétexte de l’ennui, il fuyait surtout son propre désir. Elle lui plaisait d’une manière agaçante, tant sa personnalité intrusive et exubérante le désarçonnait.
- « Sans doute jamais. » lâcha-t-il en un souffle d’indifférence tandis qu’il rentrait placidement les mains dans ses poches et quittait la terrasse sans un regard en arrière.
- « Jusqu’à ce que l’amour nous sépare ! »





ACT IV : GLORY



- « Lieutenant Winnfield, votre rapport de la situation. »
-« 6 individus revendiquant leur allégeance à la Légion sont reclus dans la maisonnette au nord d’Hewitt Road. »
-« Des agents blessés ? »
-« Deux, Bauman et Kowalski. Blessures superficielles, Commandant. Ils ont transformés l’habitation en véritable place forte, ils couvrent tous les angles et sont hostiles à tout approche. »
-« Je vous envoie une unité du SWAT, exploitez toute opportunité en attendant. »
-« Condition d’engagement, Commandant ? »
-« Annihilation, lieutenant. »

La scène était apocalyptique à Hewitt Road, en périphérie de Rockaway Bay, avec pour principale scène, la maison ancienne et isolée au nord de la route. Le sol cendré, les débris de pierre de la maison branlante et certains arbres déracinés témoignaient des affrontements létaux entre les forces de l’ordre et les marginaux. Les ténèbres avaient enveloppé le théâtre d’un écrin anxieux et périlleux. L’unité de Samuel était en place, protégés par des écrans magiques afin de contenir d’éventuels offensives et patientait pour une quelconque ouverture. La quiétude avait repris ses droits en un silence bilieux, presque assourdissant. Le calme était tel qu’il lui semblait pouvoir entendre les battements de coeur effrénés de ses hommes. Il se fit une promesse intérieure cette nuit là, cristallisation d’une inquiétude profonde : Il était impératif que chacun des policiers présents ce soir puisse rejoindre sa famille.

La Légion, l’idéologie que défendait ses opposants, était un groupuscule qui résumait aux seules personnes présentes dans cette maison aux allures de tombeau. Sa naissance spontanée était désormais contrainte à une expiation absolue. Tout avait commencé en début de semaine, lorsque le manoir de la famille Bradtford et sa bibliothèque magique ancestrale avait été cambriolé. Du travail d’amateur, qui transpirait la détresse de ses auteurs et qui les condamnait a une existence éphémère. Ils étaient les seuls responsables de leur jugement, devenu irrévocable lorsqu’ils prirent la vie de l’agent Rand, en patrouille au mauvais endroit, au mauvais moment. L’état-major de l’Autumn était désormais très attentif à l’affaire, et se montrait inflexible quant à l’issue de l’affaire.

- « Sorciers de l’Automne, repli ! » ordonna Sam, desserrant de facto l’étau sur les flancs de la maison. Il lu l’hésitation sur les faciès de ses hommes, la pertinence de l’ordre leur échappait, eux, aussi déterminés que résolus à risquer leurs vies pour l’honneur. Un orgueil au parfum de vengeance. La soirée n’aurait d’autre résolution que la disparition de l’un des deux camps.
- « Leur reddition est utopique, et votre courage m’épate. Je sais que chacun d’entre-vous est prêt au sacrifice ultime pour que triomphe la loi et l’ordre. Mais cette insigne ne fait pas de vous des bourreaux, votre mission est terminé. » Il marqua une courte pause, durant laquelle il prit soin de dévisager chacun de ses policiers, dans chacun de leur regard trônait un feu léché, celui de la dévotion, de la passion. Il était fier de cette équipe.
- « Que comptez-vous faire Lieutenant ? » s’enquerra Bauman, contrarié par les propos de son supérieur. Touché à l’épaule lors du premier assaut, son caractère tempétueux l’avait renvoyé au front.
Sam eu l’ombre d’un sourire, qui s’évapora presque aussitôt. Dans l’obscurité ambiante, personne ne dut le remarquer. Toutefois, ce qui transparaissait sans effort dans la tapisserie sombre de la nuit était la fureur qui trônait dans ses yeux. Un incendie furieux qui semblait sublimer son âme tout entière.
- « Appliquer les ordres, déchaîner les enfers » il ouvrit la paume pour y faire flirter une sphère de flamme aux contours parfaitement sculptés, elle semblait légèrement rebondir au creux de sa main et éclairait la nuit d’une chaleur ardente.
- « Sauf votre respect, Lieutenant. Je doute que ça suffise à les faire sortir ». lâcha Kent, un de ses plus anciens partenaires. Son air incrédule s’était propagé à l’ensemble de l’équipe, dépassé par les élucubrations nébuleuses de Samuel.
- « La sphère seule ne suffira pas, en effet ». Il ouvrit plus grand la paume et laissa sa sculpture purpurine leviter et s’éloigner lentement dans les airs.

La scène sembla durer d’interminables minutes, un ellipse de temps durant laquelle la sculpture de flamme s’enfonça dans l’obscurité pour flotter au-dessus du court d’eau qui longeait la maisonnette. Le calme de la situation faisait planer une aura de mystère.
- « Pour nous, enfants du feu, l’eau incarne l’ennemi le plus viscéral. Notre némésis à bien égard. Ou bien notre allié le plus fiable. » Nouveau hoquet d’incompréhension de l’unité.
« L’hydrogène est le composant majeur de l’eau, c’est également le gaz le plus inflammable de notre planète. Contrôler le feu ne se résume pas à le déplacer ou à la densifier. Il s’agit de le muer, le transformer… Le sublimer. » Et sur sa dernière palabre la sphère dansante implosa en une déflagration colossale qui souffla la maison et, sans doute aucun, toutes les âmes s’y abritant. Elle éclaira l’expression cruelle de Samuel à cet instant. Un visage d’une dureté profonde et d’un stoïcisme surprenant pour quelqu’un qui venait d’ôter la vie d’une manière si brutale.


Gloire et honneur, devoir et décision. Sous bien des aspects, sa mission le déshumanisait. Les acclamations de son équipe ne lui procurèrent guère satisfaction, ne le doublaient d’aucune fierté. Il avait préservé la vie de ses hommes et avait mit dans la balances 6 autres vies. Beaucoup le remercièrent pour cette mission couronnée de succès. Un succès pourtant maculé de sang qui hantait encore certaines de ses nuits.






ACT V : REDEMPTION




Ses mots faisaient écho dans son esprit. Promesse d’un enfant à venir, de la paternité. Pour la première fois de sa vie, il doutait de lui, de ses facultés à assumer un statut si délicat et périlleux. Davantage, il s’agissait désormais de penser plus grand, plus large. Devenir géniteur n’avait jamais été un des objectifs prévus dans son plan de destinée. Mais les arcanes du sort lui avait conféré amour et famille, et une cellule affective en perpétuelle développement. La situation mettait d’ores et déjà désormais son quotidien à l’épreuve, alors que tout semblait auparavant si limpide.
Il n’avait pas réussi à se réjouir de la nouvelle lorsqu’elle lui fut annoncée, mais le temps muait le fil de ses pensées. Il se surprenait à sourire lorsqu’il se projetait avec un nouveau-né dans les bras, tandis que son regard devenait tendre quand il se prenait à s’imaginer, Lila et lui, spectateurs de la croissance du fruit de leur amour.
Il se retrouvait balloté entre questions existentielles et perspectives d’avenir, le tout formant une recette douce et amère entre les points cardinaux de son existence. Le devoir, l’honneur, l’allégeance et la loyauté. Envers le Covent. Envers sa famille. Et si cela venait à s’opposer ? Ce fut déjà le cas avec Elena. Mais les proportions pourraient être plus déséquilibrées encore.

Ce flot de pensée guidait ses pas alors qu’une averse virulente s’abattait sur Greenwich Village. Il observait les gens s’abriter à pas hâtifs alors les flaques se formaient partout sur les trottoirs pavés du quartier. D’instinct, il s’engouffra dans une petite boutique d’antiquité magique, très semblable à celle que tenait son jeune cadet, Ben. Le vieux poêle à bois réchauffait la pièce d’une torpeur chaleureuse. Sur les étagères étaient disposés de manière chaotiques différents artefacts sorciers de siècles passés. Pour la plupart tous obsolètes, leurs formes et leurs grains passés leur donnaient un cachet inestimable à ses yeux.
Un détail attira son regard, détail qui prenait la forme d’une jeune adolescente. Entre 16 et 17 ans sans aucun doute. Capuche vissée sur la tête, jetant des coups d’oeil angoissés dans tous les angles, Samuel avait suffisamment vu de voleur dans sa carrière pour en reconnaître les stigmates. Celle-ci semblait clairement inexpérimentée.
- « Tu devrais reposer le contenu de tes poches. » murmura sobrement le policier dans le dos de la délinquante, alors que le gérant du magasin, aveugle à la scène, s’occupait d’une autre cliente.
- « Tu devrais la boucler et dégager !» rétorqua-t-elle, hargneuse et méfiante. L’ignorance de son interlocutrice amusa Sam, persuadé que sa réponse aurait un effet dissuasif plus prononcé.
- « Lieutenant Winnfield, Police de New York. Pour la dernière fois, vide tes poches. »

La réaction de la jeune sorcière fut toutefois plus surprenante. Elle marqua un temps d’arrêt, fit volte-face, le visage décomposé et détailla le faciès de Samuel avec une expression de tristesse infinie. Cela sembla durer quelques secondes, puis, sans autre forme de préavis, elle se faufila entre les rayons et prit ses jambes à son cou sous la pluie battante. Sam lui emboita bien évidemment le pas.
Leur course frénétique ne dura guère plus que quelques minutes, la pluie drue ralentissant leur progression et masquant leur visibilité. Ils finirent toutefois dans une impasse où l'eau stagnait en une flaque conséquente.
- « C’est ainsi que procède la Police de New York hein ? Une impasse sans témoin, pour occire sans état d’âme ? » pesta la poursuivie, le regard plein d’arrogance et d’animosité.
- « Restitue ton larcin, et aucun mal ne te sera fait. »
- « C’est ce que tu as dit à mon père également ? » hurla-t-elle, nerveuse et tremblante. La situation dérapait, la délinquante semblait désormais hystérique. Sam ne comprenait pas son dernier reproche, elle éclaira son regard inquisiteur.
- « Tu ne me reconnais pas hein ? Je suis Emma, Emma Moriarty. Le même nom que mon père, ton ami.»

Le sol sembla s’ouvrir sous ses pieds et l’engloutir totalement afin de le transposer 12 ans plus tôt, dans un cadre très similaire. Le lieutenant Winnfield, à l’aube de sa jeune carrière avait dû tragiquement s’opposer à son partenaire et ami Eliott. Une confrontation dramatique. Amère ironie, la culpabilité prenait la silhouette de sa fille plus d’une décennie plus tard. Il resta muet.
- « Sais-tu ce tu as fait à ma famille ? Ma mère s’est tuée de chagrin, mon frère a été traité comme un paria. Tu nous as couvert de déshonneur. Tu as enfin l'occasion de détruire complètement ma famille, ne traîne pas. »
Il hocha la tête, toujours dans l’incapacité de formuler la moindre palabre, marqué par le poids de ses actes passés. Les conséquences que les choix d’un père avaient sur l’avenir de ses enfants lui noua la gorge, contraint de faire un parallèle saisissant avec son futur rôle de géniteur.
Ce trouble fut parfaitement analysé par Emma, qui contourna le policer et s’échappa en courant de cette ruelle pour s’évanouir dans la nature. Samuel, lui, resta frappé d’inertie quelques minutes, seul, avec sa conscience, ses souvenirs et ses tourments intérieurs. Alors qui la pluie s’évertuait à tomber toujours plus fort.


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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 17:16
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bienvenue sur tbe, courage pour la rédaction de ta petite fiche :heart:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 17:34
Raleigh Flinders
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Raleigh Flinders
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timelapse : QUARANTE-NEUF ANS. Aux portes du demi-siècle, il assume son âge, partage son expérience et tente de préserver son âme d'enfant malgré son visage marqué par le temps, la fatigue et la peine de ces derniers mois.
heart rate : VEUF. Vingt-trois ans de mariage partis en fumée lors des évènements du nouvel an 2219, sa moitié arrachée dans le chaos, le cœur meurtri cherche un nouveau souffle, mais il titube, habité par la crainte qu'il soit trop tard.
purpose : CAPITAINE. Leader exigeant, mais juste au sein de l'armée du printemps, loyal au , mais aussi aux sorciers, aux innocents, dont il prône la sécurité et le bien-être, conscient de la fragilité de la paix, il tente de faire une différence.
magic scale : NIVEAU 3. Les années de pratique ont su porter leur fruit, mais il reste un élève de la magie, sensible au lien avec la nature et Two Black Eyes, il ne cesse d'étudier afin de pouvoir de défendre les siens.
powerplay : CONTRÔLE DE L'EAU. Déviance, héritage de la branche paternelle, l'élément est son allié et il a su démontré qu'il fait partit de l'élite sorcière en démontrant une maîtrise contrôlé et une affinité particulière, il a su mêler ce don à la magie de son coven de naissance.
liability : AUDITION. Détonation éclatante, acouphènes et bruits sourds, dans le chaos, les cris se perdent et soudain le monde semble perdre de la voix, laissant place à un silence presque effrayant. Seuls souvenirs de son accident, il se réveillera le lendemain dans une chambre d'un hôpital de la Dawn, on tentera de lui annoncer une mauvaise nouvelle, il le voyait, il le savait, il le sentait et surtout, il n'était pas là. Ray n'entendait rien, passant alors des examens, puis les résultats tombent : il a perdu soixante pourcent de son audition, l'obligeant à porter un appareil auditif. Il ne compte pas laisser ce handicap entraver son avenir, il apprend le langage des signes et l'assume pleinement, parfois même, il retire ses appareils en s'éloignant des personnes qu'il n'a pas envie d'entendre. ARC. Arme de prédilection du sorcier, s'il n'a pas délaissé le corps à corps ou les possibles armes à feu, c'est bien en tir à l'arc qu'il excelle. Si l'image fait doucement sourire, il assume son choix et il saura démontrer qu'on est tout aussi capable de se défendre avec un arc et des flèches qu'avec toute autre arme. Il suffit simplement d'avoir l'équipement adéquat et adapté, s'il fait la plupart de ses flèches, il a quelques contacts qui lui ont proposé d'autres types d'embout. L'arc, lui, avait été réalisé par un sorcier de l'automne, offert par une connaissance issu de ce coven. CAFÉ. La légende raconte qu'il ne fonctionne pas sans café. Une autre prévient les innocents des conséquences de renverser sa tasse, par accident ou non, il vous coupera l'envie de réitérer cette expérience. Si la première est une exagération, la seconde est véridique et il y a de nombreux témoins. Raleigh boit son café noir, comme les marines, dans le gobelet le plus grand possible ou n'importe quel récipient qui serait à sa portée. Sans sucre, sans lait. Il les boit comme du petit-lait, si ça ne semble pas faire effet sur son excitation, cela améliore son humeur et son attention, alors, vous savez ce qu'il vous reste à faire en cas de message à faire passer. Et si vous apportez des petits sablés ou macarons avec ça sera un bonus, mais n'abusez pas trop, il n'est pas dupe. EAU. Difficile de résister à l'appel du large, pour cet enfant du printemps, amoureux de la mer. Navigateur et excellent nageur, il aime se promener le long de la baie, flânant sur les bords de l'eau, seul ou accompagné. Depuis le décès de son compagnon, les bords de l'eau sont devenus son refuge de prédilection, parfois une voix l'encourage à rejoindre les fonds ou l'horizon, pour disparaître et ne faire qu'un. Il entend les rumeurs des tentatives d'exploration de la Summer, aventures qui le tenteraient bien, souhait secret qu'il garde pour lui. Il y a une époque, il ignorait les sirènes de l'eau, mais depuis qu'il est seul, la tentation grandit, s'enfonçant toujours un peu plus profond à chaque plongée. IKEBANA. L'art des arrangements floraux. Encore une fois, difficile de ne pas sourire et d'imaginer le capitaine prendre le temps de préparer des bouquets ou simplement embellir les lieux avec un simple arrangement floral inspirée des traditions anciennes nippones. Hobby qu'il tient de sa mère, il lie cette activité aux conversations, sérieuses ou non, s'il vous reçoit chez lui pour discuter, vous repartirez avec un petit arrangement personnalisé. Il lui arrive aussi d'en semer dans le palais, parfois en offrir pour des occasions ou tout simplement pour remonter le moral. Dans un autre coven, le geste pourrait être déplacé, mais au sein du printemps ça semble encouragé. MUSIQUE. Lorsque sa voix s'élève, c'est d'abord pour des chants marins, mais aussi de légendes sorcières, avant de se mêler aux groupes et artistes plus modernes. Goûts éclectiques, le capitaine ne refuse jamais de découvrir un nouvel artiste, grand concert ou show en petit comité, c'est toujours un plaisir de rencontrer des gens de cet univers si différent du siens et pourtant si familier. Il a appris la musique avec son père et grand-père, il la partager avec son compagnon, lui même musicien, ne refusant pas de courir ses doigts sur les touches d'un piano ou le long d'une guitare en fin de soirée, dans un coin de bar ou chez des invités.
loyalty : COVEN DU PRINTEMPS. Si son héritage est celui de l'océan, il reste un enfant du printemps, élevé au sein du coven par ses parents, imprégné de leur philosophie et de leur magie, il a fait le choix de rester parmi les siens afin de défendre les valeurs du printemps, les faisant siennes.
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I must remember that what’s done is done, what’s gone is gone. One of life’s lessons is always moving on. It is ok to look back and think of fond memories, keep moving forward.

JOURNAL RPGIQUE.
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emergency contact. ϟ (fb) liam, tbd ϟ random as a familiar shop. ϟ (fb) a song of silence and darkness ϟ calathea, tbd ϟ caspian, tbd

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welcome sur tbe mister :cute:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 17:48
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JENSEN MY LOVE
:elmo:

Très très bon choix. :hehe:
Bienvenue. :globul: Et bon courage pour ta fiche. :heart:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 17:59
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le début de fiche promet, on adore :elmo: bienvenuuuue :heart:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 18:23
Solveig O. Sicomore
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Solveig O. Sicomore
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timelapse : Presque 30 ans
heart rate : Et si l'amitié devenait amour ? Officiellement célibataire, en couple avec Rosaline en secret
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gemstone : Peut être que je vais me trouver une pierre oui ou pas
loyalty : Je fais ce que je veux, quand je veux, où je veux, voilà c'est tout
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HUMAINS
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@Samuel Winnfield Oh oui Jensen :aya:
Bienvenue par ici :keu:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 18:39
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J'ai l'impression qu'on va devenir très amis :ehbien:

Bienvenue :cute:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 19:13
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encore de l'autumn, jpp :red:

mais bienvenue quand même, pis bon courage pour ta fiche, tout ça tout ça :faint:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 22:01
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cette invasion de l'automn :ehbien:
mais c'est jensen donc bon What a Face
bienvenue à toi :heart:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 23:01
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bienvenue sur le fofo misster, courage pour la suite de ta fichette :cute:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Jeu 13 Déc - 23:41
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! :cutie:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Ven 14 Déc - 0:53
Noah Moriarty
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Noah Moriarty
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timelapse : 27 ans, les deux poings sanglants, les souvenirs gravés dans la peau, la rage au ventre, la haine.
heart rate : celibataire, pas du genre à s'attacher, marre de s'abimer le coeur, il crache sur l'amour, il en veut pas.
purpose : Employé dans une station service rebel with a cause, employé d'une station service qui revend de la marchandise de contrebande.
liability : underco
loyalty : rebellion, il était pas question qu'il en soit autrement. Il a intégré la rebellion dès qu'il a réussi à s'enfuir de l'orphelinat. Il en veut aux sorciers, il les hait trop pour les laisser faire et tant pis s'il y laissera sa vie, au moins sa mort aura servi à quelque chose.
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I'D TRADE ALL MY TOMORROWS FOR



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:slt: :slt: :slt:
bienvenue avec ce personnage qui promet déjà :globul:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Ven 14 Déc - 1:55
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Bienvenue sur TBE, courage pour ta fiche. Super choix d'avatar, j'en bave :cutie:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Ven 14 Déc - 10:52
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JENSEN :bed2:
Bienvenue par ici officiellement :globul: puis faut remplir le reste là :red:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Ven 14 Déc - 15:35
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Jensen, ça fait plaisir de le voir :pleasebabe:
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche !
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Ven 14 Déc - 16:29
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bienvenue parmi nous :heart:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Ven 14 Déc - 18:04
Mojave E. Barnes
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Mojave E. Barnes
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timelapse : 46 Ans ; Tu es né un 29 Décembre. Enfant de l'hiver sous tout ses états tu as vu passer bien des épreuves.
heart rate : Veuf depuis maintenant cinq ans, ton coeur est gelé comme l'est ton regard. Il n'y a plus rien dans ta vie, plus personne sous ton toit où le silence est de mise quand le piano n'est pas là pour le transpercer.
purpose : Tu es Gardien du Savoir, plus exactement, tu es spécialiser dans les archives des trésors que renferme le savoir du coven de l'hiver. Tout ces documents que tu as lu, tu les connais par coeur. Mémoire eidétique, tu te souviens de tout ce que tu vois ou lis. Fardeau ou don, tu ne saurais le dire.
magic scale : Niveau III. Quoique tu estimes la magie comme un constant apprentissage, tu sais maîtriser ton don et les sortilèges aussi facilement qu'un chef d'orchestre devant ses musiciens.
powerplay : Refroidissement Éolien. Tu as le contrôles des vents glacés, de la bise au blizzard. Tu maîtrises la pression atmosphérique hivernale pour créer autour de toi un paysage d'hiver calme ou encore une trombe de neige...
loyalty : Depuis toujours tu foules les pavés froid de Lower Manhattan, tu vis au sein et pour le Coven. Ta place d'archiviste est importante et tu en as conscience, aussi es tu particulièrement dévoué à ta tâche et aux tiens.
Cependant, derrière un masque de marbre glacé, ton esprit est ouvert... Il est facile de poser des idées reçues sur ton être mais attention à ne pas te juger trop vite.

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Winter Court
Whence is that knocking?
How is ’t with me when every noise appals me?
What hands are here? Ha! They pluck out mine eyes.
60Will all great Neptune’s ocean wash this blood
Clean from my hand? No, this my hand will rather
The multitudinous seas incarnadine,
Making the green one red.

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WINTER COURT
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Jensen :aya:
Bienvenue sur le forum, bon courage pour ta fiche!
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Ven 14 Déc - 19:31
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Ouh un policier comme je les aime. :fire: :fire: Un parfait fils du feu, ça, c'est bon. :fire: :fire:
Bienvenue parmi nous, mon fils. On va faire de grandes choses. :ouh: :ouh:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Ven 14 Déc - 19:43
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@Samuel Winnfield on est collègue, et de l'automne, alors forcément, il nous faudra un lien :owi:
bienvenue en tout cas dans le meilleur coven avec le meilleur suprême :heart:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Sam 15 Déc - 0:45
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oh bordel je ne me laisserais jamais de voir jensen :fire: :fire:
bienvenue parmi nous ! :coeur:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Sam 15 Déc - 15:42
Abel Frye
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timelapse : 32 ans
heart rate : célibataire
purpose : homme à tout faire, il rend des services au plus offrant
gemstone : jade, contrôle du temps
liability : il a un chien dénommé Jagger ✯ il écoute beaucoup de musique ✯ il vit modestement, il n'aime pas le luxe ✯ débrouillard et solitaire, il déteste demander de l'aide ✯ malgré son apparence de mauvais garçon, c'est quelqu'un sur qui on peut compter dans le voisinage. Il s'est plusieurs fois retrouvé à réparer des dégâts chez ses voisins et à aider les gens de son quartier. ✯ il est rare de le voir sourire. ✯ il fume régulièrement ✯ il porte toujours le livre préféré de sa mère sur lui
loyalty : Il n'a pas tendance à se lier avec les red thieves, ou les humains. Il se fiche des révolutions. Il est loyal à celui qui le paiera le plus. Mais il ne les dénonce pas nécessairement non plus. Il fait partie de la rébellion pour protéger Noah, son meilleur ami.
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jensen :aya: bienvenues sur tbe :globul:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Dim 16 Déc - 10:37
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encore un vil sorcier :red:
Bienvenue quand même, et bon courage pour le reste de cette fiche :superman:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Dim 16 Déc - 11:43
Armand de Valois
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Armand de Valois
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pseudo : laufeyson., tia.
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timelapse : vingt-huit années écoulées dans le sablier du temps.
heart rate : à jamais libre.
purpose : trafiquant, potioniste.
magic scale : niveau un, sûrement pas loin du deux, vu sa maîtrise presque parfaite de son don et son excellence en potions. mais il est incapable de lancer n'importe quel autre sort, même basique, et encore moins un rituel.
powerplay : le vol, pour caresser les nuages et faire léviter les pierres.
liability : ancien de la day, il a gardé le côté extravagant de ce coven, et se balade toujours avec beaucoup de bijoux en or (colliers et bagues majoritairement) + il a une cicatrice qui court de son épaule gauche à sa hanche droite, qu'il affiche avec fierté + toujours habillé de noir, avec de longs vêtements, souvent ouverts au niveau du torse + excellent épéiste, il a toujours une lame à sa ceinture, ainsi que des dagues dans ses bottes + maitre des potions, il a toujours un petit sac sur lui pour en transporter plusieurs.
loyalty : les wicked, sa nouvelle famille. banni par son coven, il rêve désormais de les voir disparaître dans les flammes.
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bah ackles il est perf dans ce contexte :fire: :fire:
bienvenue à la maison :heart:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le Dim 16 Déc - 18:05
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Welcome avec le beau Jensen & bonne chance pur ta fiche :heart:
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MessageSujetRe: FIRE LEAF - Sam.      #☾.      posté le
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